Grandgeorge - A place we can meet
- Vanessa
- 26 juin
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 12 oct.
Article publié dans le magazine Larsen #63 (juin 2025)

Un shoot de vitamine D en intra… coustique, pop avec incursion de trompettes, voilà le cadeau de Benjamin alias Grandgeorge. Ce disque rehaussera n’importe quelle humeur de couleurs vives et pulsations scintillantes, en fredonnant le malicieux « houba houba » du titre Cocktails in the sun. À première écoute, A place we can meet est un simple disque pop rock du plus bel effet, dont l’écoute plongera tout bon boomer dans des souvenirs d’adolescence, Blur et Oasis en tête de gondole. Mais « simple » n’est pas Grandgeorge : le musicien e
xcelle dans l’art de nous entrainer sans en avoir l’air dans des rythmes complexes, harmonies audacieuses, constructions surprenantes, et des textes à interprétation variable. Résultat : on lui emboite le pas. Cet opus chaleureux atteint donc son objectif. « Je trouvais important de parler de la rencontre avec soi-même. L’album commence et termine par des chansons sur ce sujet. Mais, au milieu, on rencontre le monde ! Et c’est surtout pour le live que j’ai fait cet album. On ne tournait plus, ‘l’être ensemble’ me manquait beaucoup. La scène ne représente que de bons souvenirs pour moi. C’est un espace de liberté tellement infini ! » Pour atteindre ce bon son à faire sauter les foules, Benjamin a enregistré chez lui et travaillé avec Benoit Tempels. Tout en organisant ses retrouvailles avec le public, il pense déjà à la suite : « J’ai mis toutes mes références dans celui-ci, la boucle est bouclée… Pour le prochain je me dis, pourquoi pas en français ? » It’s a date.














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