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Karin Clercq

"La boite de Pandore", quatrième disque de Karin Clercq, arrive 8 ans après le précédent.


"J'attendais d'avoir quelque chose à dire", confie l'artiste en souriant. Ce vendredi après-midi, elle m'accorde du temps dans sa loge, quelques heures avant d'assurer la première partie de Dominique A, en formule simplifiée avec Alice Vande Voorde. L'interview se trouve comme d'habitude, dans l'onglet Podcast.


Quelque chose à dire est un euphémisme. Sur ce CD, toujours au plus près du féminin, les arrangements sont recherchés et le propos est nuancé. Tout comme leur auteur et interprète, pétrie de la culture textuelle puisée à sa formation de comédienne. Une poésie qui se prolonge dans la musique, comme un fluide vital permettant de choisir ses propres rôles, et son propre propos.


Un disque à écouter plusieurs fois, à éplucher en plusieurs écoutes, tant il a de messages à délivrer et de subtilité à offrir.


Photo : François Mercier


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